La montée est facile et agréable en forêt, ainsi que la traversée jusqu’au bout de la barre où se mélangent, prairies, lavandes et edelweiss. Tout au long de la ligne de crête, un large panorama vous permet d'admirer à la fois les Alpes et la Provence.
Détail de l'itinéraire
Description
Depuis le col de Fontbelle (1304 m) – Suivre la piste forestière qui part vers le nord et passer devant la maison forestière de Fontbelle et poursuivre sur 750 m. Tourner ensuite à droite sur le sentier qui s'élève en forêt et débouche à un carrefour. Aller sur la gauche, le sentier se poursuit en traversée, toujours en sous bois, puis longe la barre rocheuse avant de la franchir et d'atteindre la crête. Pousuivre dans le versant opposé sur 150 m. S'élever alors hors sentier (être bien attentif au balisage) et rejoindre la crête de Géruen. La suivre sur la gauche jusqu'au sommet de Géruen. Le retour s'effectue par l'itinéraire emprunté à l'aller.
La montagne de Géruen est une barre calcaire caractéristique comme nombre de sommets voisins; Elle surplombe la vallée des Duyes et on y accède le plus souvent par le col de Fontbelle. Vous apercevrez le village de Thoard, des champs cultivés parfois de lavande véritable (et non de lavandin) et des décors étonnants faits de gros blocs calcaires qui semblent plantés dans les marnes sous-jacentes. Le secteur fut totalement reboisé fin XIXe – début XXe s. pour lutter contre l’érosion. Si le pin noir d’Autriche domine, frênes et aulnes peuplent les vallons humides tandis que pins sylvestres et érables égaient les versant ensoleillés. La biodiversité y est remarquable.
La montagne de Géruen est une barre calcaire caractéristique comme nombre de sommets voisins; Elle surplombe la vallée des Duyes et on y accède le plus souvent par le col de Fontbelle. Vous apercevrez le village de Thoard, des champs cultivés parfois de lavande véritable (et non de lavandin) et des décors étonnants faits de gros blocs calcaires qui semblent plantés dans les marnes sous-jacentes. Le secteur fut totalement reboisé fin XIXe – début XXe s. pour lutter contre l’érosion. Si le pin noir d’Autriche domine, frênes et aulnes peuplent les vallons humides tandis que pins sylvestres et érables égaient les versant ensoleillés. La biodiversité y est remarquable.
